Le Monde de Dionor
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Le Monde de Dionor

Rejoignez-nous dans un monde en grand danger où un mal jadis scellé est sur le point de se réveiller. Seul VOUS, armé de votre imagination, pourrez changer les choses. Serez-vous de ceux qui se battent pour la paix, ou de ceux qui engendre le mal ?
 
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 Libération.

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MessageSujet: Libération.   Libération. Icon_minitimeSam 3 Avr - 12:19


Lorsqu’elle fut hissée hors du piège pour ensuite être attachée derrière un des chariots en fin de convoi. Madaïa pu apercevoir derrière les esclavagistes, l’elfe qui avait appelé à l’aide, toujours à terre, se tenant un genou en gémissant, ne pouvant visiblement plus marcher. Il fut relevé sans ménagement et enfermé dans une cage, dissimulée sous une bâche d’un des chariots de tête.

Quelques heures plus tard, la caravane se mit en marche. Ça n’est que quelques jours plus tard qu’ils arrivèrent à Irion. Cette métropole avait beau être la capitale de lumière, on y vendait toujours des esclaves à tire larigot. A peine arrivée, Madaïa fut exposée avec quelques esclaves sur la grande place. Tous les négociants tentaient d’obtenir les meilleurs prix des passants plus ou moins intéressés.

- Allons venez mes amis ! Venez chez moi ! Regardez mes beaux esclaves ! Ils ne sont pas cher et tous de bonne qualité ! Admirez par exemple cette jument ! Regardez moi ça ! Qui passerait à coté d’une affaire pareille ?!!

Un passant à l’allure ramassée et quelque peu malodorante leva la main.

- Je suis intéressé… mais je veux voir sa dentition, je veux juste m’assurer qu’elle est en bonne santé.
- Et comment ! Bien sur que c’est possible ! Et visez-moi cette généreuse poitrine ! Que du bonheur non ? ajouta il sans se priver de tâter la marchandise.

Aussitôt, l’esclavagiste empoigna un tabouret pour se mettre à une hauteur convenable. Il saisit à deux mains la mâchoire de Madaïa pour l’ouvrir. Saisissant l’occasion de venger cette humiliation, la jument croqua de toutes ses forces les doigts de l’humain, lui arrachant un effroyable cri de douleur, ainsi que deux doigts.

- Ahhhh ! Saleté de canasson ! Elle m’a bouffé les doigts !!!

Un autre esclavagiste s’approcha par derrière armé d’une cravache. Il eu le temps de frapper la croupe une fois… mais pas deux. Une puissante ruade l’expédia dans un étalage de fruit et légumes, quinze mètres plus loin.

Devant cette erreur de débutant, la foule éclata de rire. Le pouilleux profita de cette occasion pour négocier un gros rabais, qu’il fini par obtenir à force de négociation. Devant le manque d’offre suite à cette série d’incident, un marché avantageux pour l’acheteur fut conclu. Certes, l’esclavagiste en tira beaucoup moins que prévu, mais il ne voulait pas risquer de perdre cette occasion d’obtenir quelques pièces. Mieux valait une bourse à moitié vide que rien du tout.

Le pouilleux, content de son affaire, parti avec son achat.

Madaïa quitta le marché en compagnie de son acheteur.

- Bonjouuuuuur ma p’tite. T’en fais pas, je ne vais pas te faire de mal. Tu seras mieux avec le bon vieux Max. Je t’amène à mon écurie… J’ai plein de bonne chose pour toi là bas. Tu y seras bien, et avec un peu de chance, tu y rencontreras même un étalon à ta mesure.
- Merci, se contenta de dire Madaïa.
Méfiante, elle ne faisait pas non plus confiance à Max le pouilleux. Certes, il l’avait sauvé des griffes des esclavagistes, mais qui sait quelles étaient ses intentions. Cela ne faisait pas de lui un ami pour autant.

Arrivé à l’écurie, Max plaça Madaïa dans un box dont le sol était couvert de paille malpropre. La jument s’allongea. Il détacha ses entraves et sorti du box en verrouillant la porte derrière lui.

- A plus tard ma belle !

Madaïa ramena ses pâtes antérieures vers elle pour les masser. La ruade qu’elle avait donné quelques dizaines de minutes auparavant l’avait déséquilibré, lui tordant légèrement le genou : rien de bien grave, elle s’en remettrait.

La jument ne tarda pas à s’endormir, épuisée le voyage durant lequel elle n’avait pas pu se reposer. Ce fut un rayon de soleil, filtrant au travers d’un trou dans le toit de l’écurie qui la réveilla. Elle tendit l’oreille : Max le pouilleux semblait s’entretenir avec quelqu’un.

« …une jument. Elle est assez docile mais ne fait pas vraiment confiance aux inconnus. »
« Je la prends. Et je vous prends aussi du foin. »

Curieuse, Madaïa profita d’une fente de quelques centimètres de largeur dans la porte pour jeter un œil sur l’entretien. L’inconnu était sans nul doute un elfe. L’échange fut bref entre les deux protagonistes. L’elfe ne voulait visiblement pas perdre de temps en négociation et accepta le prix du pouilleux.

Le palefrenier indiqua la direction d’une salle où se trouvaient les selles. Madaïa eut tout juste le temps de plaquer sa main sur la fissure pour ne pas se faire repérer. La jument retint son souffle. Ne sachant à qui se fier, elle préférait se faire la plus discrète possible.
L’elfe passa à coté de son box pour aller choisir une selle et un harnais, en déduisit Madaïa d’après le bruit émit par ces outils. A la suite de quoi, l’elfe quitta l’écurie en compagnie de la jolie jument dont il avait fait l’acquisition. Il semblait ne pas avoir vu la centaurine, c’était probablement mieux ainsi…

Madaïa était patiente. Elle était sûre qu’une occasion se présenterai bientôt… elle la saisirait alors.


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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeDim 4 Avr - 18:53

Delarion voulait acheter un bâton pour l'enchanter, il était inévitablement passez devant la place ou avait lieu la vente de marchand d'esclave, Delarion s'arrêta. il méprisait particulièrement les marchands d'esclaves, apparemment, il avait capturé une Centaurine. Ce sa****** la traitait vraiment comme de la marchandise, Delarion attrapa son arc.

<< Delarion, ce n'est pas une bonne idée, calme toi et attend >>.

<< Tu a raison, on va changer nos plans, je vais attendre de voir qui va avoir cette Centaurine, après on improvisera>>.

Delarion regarda la vente, elle était un peu mouvementé, la Centaurine ne se laissa pas faire, et mordit et rua. Delarion sourit. Le marchand d'esclave aura un peu souffert, bien fait pensa t'il. Finalement, après tout ces incidents, l'exploiteur du baisser son pris, et ce fut le forgeron qui tenait l'écurie du coin qui acheta la Centaurine. Il quitta la place avec sa nouvelle monture.


<< Isis, camoufle toi !>>.


Isis, perdit ses plumes enflammés, et reprit ses couleurs or et rubis. Delarion suivit le marchand, et pendant la nuit vérifia les alentours de la maison et se posta en observations jusqu'au lendemain matin.
Un elfe vint chercher une monture, Delarion crut qu'il allait devoir l'attaquer, mais il repartit avec une monture normal.


<< Isis, tu va faire diversion, moi je vais libérer la Centaurine >>


Isis s'envola vers l'écurie et y entra, elle agrippa un objet entre ses serres, et une fois sur que l'humain l'eut vu, elle sortit avec, entrainant derrière elle l'humain qui voulait récupérer son outils. Delarion s'approcha du box ou y était enfermer la Centaurine.

- Ne craignez rien, je suis un elfe, paladin de la Lumière, ne faite pas trop de bruit je vais vous sortir de la.

Delarion, décrocha la porte et la jeta sur le coté.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeDim 4 Avr - 21:49


Ladite « occasion » se présenta bien plus tôt qu’elle ne l’eut pensé. Allongée dans le foin malpropre, Madaïa fermait regardait fixement le trou dans la toiture de l’écurie. Celui là même qui éclairait maigrement une partie de sa cellule. C’est alors que, humant l’air ambiant, elle perçu une très légère odeur de brulé. Une odeur discrète qui eut probablement été imperceptible pour un humain.

« Qui dit odeur de brulé, dit feu ». Guère rassurée par cette perspective, Madaïa se leva précipitamment et s’approcha de la porte. La centaurine tenta de saisir le verrou de l’autre coté de la porte, sans succès. Elle agrippa alors les barreaux de ses deux mains pour commencer à les secouer. Constatant d’elle-même la solidité de ces barreaux, elle se recula pour se mettre dos à la porte et donner une forte ruade dans la porte… qui vibra fortement mais ne bougea pas d’un centimètre.

- Sortez-moi de là ! ! ! Il y a le feu ! Ouvrez cette porte ! ! ! cria-t-elle à l’intention du palefrenier. Ce dernier accouru rapidement, visiblement mécontent, une paire de chaines métalliques à la main ainsi qu’un instrument ressemblant à une fourche.

- Ooooh là ! Du calme ma belle ! N’essai pas de me berner, s’il y avait un incendie, je le saurai. Ta ruse ne prend pas avec moi. On ne trompe pas le vieux Max comme ça ! En attendant, tu va te calmer, regarde ce que je t’amène, dit-il en brandissant ses chaines. Avec ça, tu n’abimeras plus la…

Max ralenti le débit de sa phrase jusqu'à s’arrêter complètement. Un battement d’ailes s’était fait entendre. Le haut plafond avait donné un écho bien plus important à ce bruit, au départ insignifiant. L’homme se retourna et repéra un oiseau de petite taille aux couleurs chatoyantes qui avait pénétré dans l’écurie.

Peu interessé par ce détail, il se retourna vers la centaurine pour poursuivre sa phrase mais à peine eut il ouvert la bouche qu’un bruit métallique retentit à nouveau. Max chercha du regard la source du bruit. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il aperçu l’oiseau s’envoler avec un magnifique harnais tressé de fils d’or et d’argent entre ses serres.

- Ehhh ! Reviens ici Saleté d’voleur ! Maudit piaf ! J’vais t’faire rôtir quand je t’attraperai ! cria-il en s’élançant à sa poursuite, lâchant ses chaines et brandissant sa fourche avec colère.

A peine le palefrenier fut-il hors de vue qu’une silhouette svelte et légère s’approcha rapidement ; un elfe, à n’en point douter.

- Ne craignez rien, je suis un elfe, paladin de la Lumière, ne faite pas trop de bruit je vais vous sortir de la.

L’elfe fit alors glisser le verrou pour déverrouiller la porte qu’il poussa, non sans précipitation, sur le coté.
A peine son libérateur se fut-il écarté que Madaïa, pensant encore au feu, s’élança hors du box.

- Il ne faut pas rester là ! dit-elle, affolée, en partant au galop hors de l’écurie sans même se préoccuper de son sauveur.

A peine eut elle parcouru vingt mètres qu’elle manqua renverser un passant, puis deux, puis trois. Jamais elle n’avait vu, et encore moins parcouru de ville humaine avec autant de foule. Le fait que l’on soit un jour de marché n’arrangeait rien. Elle se cabra in extremis pour éviter une mère et ses deux enfants traversant la place, qui n’avaient pas eut le temps de se pousser hors de sa trajectoire. Affolée, Madaïa repéra, du haut de ses 2m35, une direction visiblement beaucoup moins fréquentée. Elle s’y élança alors.

Entrant dans les ruelles sombres de la ville, dérapant à plusieurs reprises sur le sol malpropre, la foule avait disparu. Seul subsistait deux ou trois ivrognes ivres mort affalés dans les caniveaux et quelques personnes aux allures louches, dissimulés sous leur capuche. Pour qui connaissait la ville, le quartier du port, celui là même où était entré la jument, était connu pour être particulièrement mal famé.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeDim 4 Avr - 22:11

A peine libéré, la Centaurine partit en courant vers la sortis, Delarion se jeta dans la paille pour éviter de se faire écraser.

<< Isis, lâche ce que tu à prit à l'humain, et essaye de localiser une Centaurine, si elle cause trop de problème, il vont l'arrêter ou alors ce sa***** de marchand d'esclave va la capturer de nouveau>>.


Delarion s'élança en dehors de l'écurie, il courut en direction de la ville, la seul direction ou il présentait que la Centaurine était aller. Isis le guidait depuis les airs.


<< Elle à traverser la ville en courant, elle à renverser plusieurs personnes, elle se dirige vers les quartiers du port>>.

<< Les quartiers du port ? Non, Isis, si elle à des ennuis, tu reprend ta forme de feux, et tu la protège, j'arrive>>.

Delarion augmenta l'allure, les humains virent alors une silhouette flou passer à coté d'eux. Delarion arriva un peu essouffler dans les quais. Heureusement, il était bientôt midi, et à cette heures là, seul les ivrognes écumaient les rues du port. Delarion s'approcha de la Centaurine.

- Suivez moi s'il vous plait, et vite - Il baissa la voix - Le port n'est pas un endroit sur, cette endroit est infesté de voleurs et autres, suivez moi, en chemin vous m'expliquerez pourquoi vous avez fuit.

<< Isis, tu reste en vol au dessus de nous et tu nous préviens du moindre mouvement de foule le plus suspect>>.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeLun 5 Avr - 9:08


Madaïa stoppa enfin sa course folle à travers les ruelles d’Irion. Les quais émannaient un odeur fétide de poisson pas frais. Dans un coin, il était même possible de voir un tas de restes de poissons - probablement non vendu – en état de décomposition. Même les chats semblaient repoussés par ces aliments à l’aspect douteux.

La jument ne pouvait aller plus loin, désormais l’eau de la mer emplissait son champ de vision. Malgré l’heure de la journée, l’activité n’était pas très soutenue. Probablement la chaleur qui obligeait les moins courageux à s’enfermer chez eux.

Peu de temps après, une voix discrète et amicale semble-t-il se fit entendre derrière elle.

- Suivez moi s'il vous plait, et vite - Il baissa la voix - Le port n'est pas un endroit sur, cette endroit est infesté de voleurs et autres, suivez moi, en chemin vous m'expliquerez pourquoi vous avez fuit.

Madaïa se retourna et reconnu sans mal l’elfe qui l’avait libéré de l’écurie. Madaïa, encore suspicieuse, obliqua légèrement la tête en repoussant d’une main gracile une mèche de crinière qui lui retombait sur le visage. Elle fixa ces yeux d’un bleu aussi profond que celui des océans en y cherchant une lueur de malice qu’elle ne trouva pas. Elle ne trouva pas non plus une seule étincelle de joie.

*Qu’a-t-il bien put arriver à cet elfe pour éradiquer ainsi tout espoir dans son regard ?*

Lentement, elle s’approcha de l’elfe et décrivit un cercle autour de lui, tout en se penchant vers lui pour humer son odeur. Le visage à quelques centimètres de l’inconnu, elle ne détecta aucune odeur dérangeante, à l’exception de son épaule gauche, où elle s’attarda quelques instants, d’où émanait un léger fumet.

*Probablement est-il passé non loin du feu lui aussi.*

Une fois cette rapide « inspection » terminée, Madaïa releva la tête.

- Bien. Je vous suis. Après tout… Je peux peut être vous faire confiance. Vous m’avez sorti des mains de ce palefrenier malodorant. Pourquoi avez-vous fait cela ? Je suppose que vous avez quelque chose à me demander ? On ne fait pas évader quelqu’un sans une bonne raison.

Sans vraiment attendre la réponse, Madaïa enchaina par une autre réponse pour satisfaire la curiosité de l’elfe.

- Pourquoi j’ai fuis ? Vous ne l’avez pas senti vous aussi ? Quand j’étais dans ma cellule il y a…

Sa phrase fut coupée par un grand fracas provenant de l’intérieur d’une taverne devant laquelle ils venaient de passer. Il ne fallut pas moins de cinq secondes pour que la porte s’ouvre à la volée, laissant apparaitre une silhouette sombre sur le seuil. L’ambiance sombre empêchait de distinguer le visage du nouvel arrivant, mais lorsqu’il leva une main bandée dans du tissu rapiécé pour montrer du doigt – qu’il n’avait plus – la centaurine et l’elfe, il n’y eu plus de doute quant à son identité. Plusieurs ombres apparurent derrière lui, dans l’ombre de la taverne : il n’était visiblement pas seul.

- Toi ! ! ! hurla le marchant d’esclave, furieux. Il baragouina une nuée d’insulte incompréhensible à l’attention de celle qui lui avait croqué les doigts un peu plus tôt dans la journée. Puis il s’adresse à l’elfe.

- Eh ! la demi-portion aux oreilles pointues ! Je ne sais pas comment tu as eu cette pouliche, mais il va falloir payer le droit de passage. Ici, les quais, c’est mon territoire ! Alors tu va laisser tranquillement mes hommes faire son affaire à ta bourrine ! Si t’as de la chance, non seulement on te laissera partir d’ici en un seul morceau, mais en plus on t’refilera même ce qui restera de ta copine. Surement un ou deux steaks.

Sur ces mots, l’esclavagiste s’avança pour barrer la route aux deux compères. Suivit de près par une quinzaine d’acolytes sortis de la taverne ou des ruelles attenantes.

- Alors ? Qu’est ce que tu décides ? Tu nous la file ou on te tue ? ou bien les deux ?
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeLun 5 Avr - 10:40

- Suivez moi s'il vous plait, et vite - Il baissa la voix - Le port n'est pas un endroit sur, cette endroit est infesté de voleurs et autres, suivez moi, en chemin vous m'expliquerez pourquoi vous avez fuit.

La Centaurine se retourna vers Delarion. Elle paraissait méfiante, Delarion la comprenait parfaitement avec ce qu'elle avait enduré récemment, c'était normal qu'elle se méfie. Elle remit en place une mèche de cheveux, et fixa Delarion dans les yeux. Delarion la vit s'approcher de lui, il ne bougea, pas, l n'avait aucune raison de la craindre, puisqu'il ne lui voulait aucun mal, et il n'avait rien à cacher non plus, donc il se laissa inspecter par la Centaurine. La Centaurine releva la tête et déclara :

- Bien. Je vous suis. Après tout… Je peux peut être vous faire confiance. Vous m’avez sorti des mains de ce palefrenier malodorant. Pourquoi avez-vous fait cela ? Je suppose que vous avez quelque chose à me demander ? On ne fait pas évader quelqu’un sans une bonne raison.


- Vous supposez mal, si je vous ais libérez de ce palefrenier malodorant comme vous dite, c'est parceque vous ne faite pas partis des créatures qui nous servent de monture, et même pour elle, nous les Elfes, nous avons qu'elles attentions. Vous appartenez au peuple pensant de notre terre, vous ne devez point être réduit en esclavage. Et je n'ai rien à vous demandez, vous êtes libre, vous ne m'avez pas décocher un coup de sabot, c'est tout ce qu'il me faut. La bonne raison qui m'a poussé à vous faire évader et que personne ne doit être esclave, c'est tout, il y a rien de plus simple. Quand à me faire confiance, vous déciderez vous même, en attendant quittons cette endroit.

Delarion entendit du bruit, il se retourna en direction de la taverne. La porte s'ouvrit à la voler et le marchand d'esclave apparu. Derrière lui, plusieurs silhouettes se dessinaient dans l'encadrement de la porte, ce type était un homme de courage par pression populaire, en d'autre terme, il n'aurait pas agit si il était tout seul. Le marchand d'esclave tendit son doigt en direction de la Centaurine et lâcha toute une série de mot coloré et très raffinés, en gros le vocabulaire de base de tout humains.

- Eh ! la demi-portion aux oreilles pointues ! Je ne sais pas comment tu as eu cette pouliche, mais il va falloir payer le droit de passage. Ici, les quais, c’est mon territoire ! Alors tu va laisser tranquillement mes hommes faire son affaire à ta bourrine ! Si t’as de la chance, non seulement on te laissera partir d’ici en un seul morceau, mais en plus on t’refilera même ce qui restera de ta copine. Surement un ou deux steaks.

L’esclavagiste s’avança et se mit en travers de la route, il fut suivi par une quinzaine d'hommes d'apparence tout aussi minable.

- Alors ? Qu’est ce que tu décides ? Tu nous la file ou on te tue ? ou bien les deux ?

- La demi portion aux oreilles pointues ? Navré que mes oreilles ne te plaisent pas, mais moi, je ne ressemble pas à une outre de vin pleine, sentant les déchets, et je ne vie pas sur la liberté des autres. Et de plus, nous les oreilles pointues, nous avons encore notre honneur, alors que toi, en a tu un jour eut ? Quand à ton droit de passage, viens, nous allons régler cela au château, je suis sur que l'on pourra te trouver une cellule ou tu croupira le restant de tes jours. Ne me cherche pas sinon c'est toi qui finira sous la forme d'un steak.


<< Isis, reprend ta véritable nature, plume enflammés,...>>.

Delarion se tourna vers la Centaurine.

- Il est possible que le feux que vous aviez sentit soit en faite l'odeur des plumes d'Isis, alors cette fois ci ne fuyez pas, vous ne risquer rien - il baissa la voix - A mon signale, fermer les yeux, sinon vous risquez d'être éblouis.

Delarion appela à lui la magie de la Lumière et invoqua un puissant soleil, qui illumina fortement la place, les maraudeurs du port, se couvèrent les yeux de leur mains, Delarion fit apparaitre deux petites sphères d'énergie qui se chargea de leur faire visiter le caniveau.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeLun 5 Avr - 12:38


L’esclavagiste resta pantois, un filet de bave coulant le bord des lèvres. Il n’avait visiblement pas l’habitude qu’on lui tienne tête, qui plus est, à 2 contre 15. Remit de sa surprise, une affreuse grimace haineuse se dessina sur son visage crasseux – déjà peu mis en valeur.

- Tu viens d’prononcer tes derniers mots le piéton !

<< Isis, reprend ta véritable nature, plume enflammés,...>>.

Un oiseau tournoyant jusqu’ici dans les airs – le même qui avait volé un harnais à l’écurie – fit une descente plongeante. Comme par un effet d’optique, les plumes se changèrent en flammes. Maleureusement, c’était bien réel : Madaïa, ferma les yeux de toutes ses forces et resta tétanisée, muée par sa peur des flammes.

L’elfe se tourna vers la Centaurine.

- Il est possible que le feu que vous aviez sentit soit en faite l'odeur des plumes d'Isis, alors cette fois ci ne fuyez pas, vous ne risquer rien - il baissa la voix - A mon signal, fermez les yeux, sinon vous risquez d'être éblouis.

Un puissant soleil fit son apparition sur la place, son intensité était telle que bon nombre des maraudeurs du port, se couvrirent les yeux de leurs mains. A la suite de quoi, deux sphères de bleutées se matérialisèrent pour aller se jeter sur les maraudeurs. Quatre d’entre eux s’envolèrent littéralement dans les airs, avant d’aller s’écraser dans les immondices du caniveau avec un bruissement écœurant. Trois des hostiles reculèrent rapidement et s’enfuirent à toutes jambes : ceux là n’avait visiblement jamais eu a faire à la magie.

- Alors vous attendez quoi ?!! Qu’on vous serve un rhum ?!! Découpez-les !!! hurla t il à l’attention de ses hommes restants, peu enclin à prendre l’initiative d’attaquer en premier.

Devant les menaces de leur chef, les sous-fifres se décidèrent tout de même à passer à l’attaque. Quatre coururent, arme en main vers Madaïa, et quatre autres en direction de l’elfe. Vu leur démarche plus ou moins chancelante, nul doute qu’ils étaient bien imbibés d’alcool. Le chef et trois de ces lieutenants restèrent à bonne distance afin de se préserver.

Madaïa ne perdait pas l’oiseau de vue, elle n’osait pas bouger de peur qu’il ne la touche. Quand les saoulards arrivèrent, elle se cabra et assena quatre ou cinq violents coups de sabots. L’un d’eux brisa net le crâne du premier attaquant, quand un autre enfonça probablement la cage thoracique du suivant.

Deux des trois lieutenants quittèrent le chef pour aller en renfort à leurs hommes.

Profitant de la bagarre qui avait lieu, le chef dégaina discrètement deux haches de jet. Il fit un pas pour se rapprocher de sa cible et trouver un bon alignement puis mis toutes ses forces dans le jet simultané de ses deux armes qu’il expédia en direction de l’elfe et de la centaurine.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeLun 5 Avr - 13:09

Trois maraudeurs s'enfuirent à toute jambes. Quatre attirent dans un caniveau rempli de déchêt végétal, et quelques formes immondes dont Delarion n'essaya pas d'identifier la provenance, connaissant l'hygiène des quartiers comme celui ci.
L'esclavagiste se mit en colère et hurla après ses hommes d'attaqués. Quatre marchèrent sur Delarion, quatre autre en direction de la Centaurine. Delarion lui jeta un regard, elle paraissait terrifier par Isis.


<< Isis, tu pourrait t'éloigner, apparemment notre jeune Centaurine craint le feux, tu me passera ton énergie, je pense que chauffer le derrière de ces abrutis d'humains seraient une bonne chose, il finiront dans l'eau>>.


Isis poussa un cri neutre, et s'envola au loin, elle reprit aussi ses plumes d'or et de rubis. Delarion avait aussi appris à maitriser le combat à mains nue. Delarion fit apparaitre son bâton de "mage", il faucha les jambes des personnes qui l'encerclait, trop facile, ces mendiants étaient imbibés d'alcool. Delarion perçut un mouvement de la part de l'ordure humaine, il vit un morceau de métal voler en direction de la Centaurine, par pur réflexe, il lança une sphère d'énergie qui dissout en pleine air la hache, par contre Delarion ressentit une douleur au niveau de son épaule.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeLun 5 Avr - 15:22


Même si elle savait que cet oiseau ne lui voulait aucun mal, elle ne pouvait s’empécher de trembler en pensant à ses flammes. L’oiseau de feu s’éloigna. Madaïa pu alors se concentrer pleinement sur le combat.
Déchainant alors sa fureur, elle saisi par le col de la chemise un bandit qui s’était approché d’un peu trop près pour le balancer à l’eau.

Lorsqu’elle se retourna, tout se passa en moins d’une seconde : Ses yeux eurent le temps de voir la lame d’une hache se profiler dans la direction ainsi qu’une autre réservé à l’elfe. Comme au ralenti, la hache se rapprochait d’elle, inexorablement. Alors qu’elle ne se trouvait plus qu’à une trentaine de centimètre de sa poitrine, la hache s’égrena pour finalement disparaitre en une nuée de grain de sable bleuté. Ce geste l’avait sauvé d’une mort certaine. Au ralenti, elle pu voir du coin de l’œil le tranchant de l’arme égratigner profondément l’épaule de son sauveur pour ensuite aller se planter dans le bois d’une pile de tonneaux.

Il n’en fallu pas plus pour déclencher une furieuse réaction. Madaïa se cabra et retomba lourdement sur les pavés du quai : le sol trembla, quelques pavés éclatèrent sous la force de l’impact, projetant des débris dans toutes les directions. Elle chargea ensuite deux bandits. A peine eurent ils levés leurs armes qu’ils finirent piétiné sous les sabots de la centaurine. Tout en courant, Madaïa se saisi d’une corde d’amarrage trainant à terre et arracha une seconde plus tard la hache plantée dans les tonneaux. D’un rapide tour de main, elle enroula la corde autour de la hache puis la jeta de toutes ses forces en direction du chef des esclavagistes.

Le geste fut rapide, mais le brigand le fut encore plus : il parvint de justesse à éviter l’arme improvisée qui alla s’écraser dans un échafaudage destiné à supporter le poids de la façade d’un bâtiment sur le point d’être démoli, juste derrière.

- Eh ! Tu m’as manqué pouliche ! Apprend donc à viser !

Sans se démonter, Madaïa ramassa l’autre bout de la corde, à terre. Elle l’enroula autour de sa main puis se mit à courir dans la direction opposée. La corde se tendit dans un bruit sec, stoppant net la course de la jument. Madaïa continua de tirer de toutes ses forces sur la corde : La hache attachée à l’autre bout fini par s’arracher, entrainant par la même occasion l’écroulement de l’échafaudage.

L’esclavagiste se retourna pour contempler le fracas causé par la jument, sans se rendre compte de la façade vacillante.

- C’est tout ce que t’as ? Ohhh ! J’ai peur ! se moqua t il en mimant une moue grotesque. Regardez tous ! La pouliche à fait tomber des bouts de bois ! Comme c’est impressionnant ! dit il en s’adressant à ses acolytes.

Ce fut précisément ces mêmes hommes qui lui mirent la puce à l’oreille en reculant, apeurés. Tout en déblatérant ses moqueries, il ne prêta pas attention à la façade penchant dans sa direction. Ce n'est qu'une demi seconde avant l'impact qu'il pu apercevoir les centaines de kilos de pierre qui l’écrasèrent comme une galette.

Devant la perte de leur leader, le restant des brigands s’enfuirent ventre à terre. Bientôt, les quais furent vides, seul subsistaient l’elfe, l’oiseau de feu (haut dans le ciel) ainsi que Madaïa, émergeant du nuage de poussière qu’elle avait créé.

La jument se dirigea vers l’elfe qui tenait son épaule ensanglantée, appuyé contre une caisse. Elle examina la plaie quelques instants, puis détacha quelques feuilles attachées dans ses cheveux blonds pour les appliquer.

- Voici. Ça calmera la douleur et facilitera la cicatrisation. Ça ne risquera pas de s’infecter. D’ici quelques jours vous ne sentirez plus rien.

- Ceux de mon peuple m’appellent Madaïa. Je ne crois pas vous avoir remercié. Je m’en excuse et le fait dès à présent.


Sur ces mots, la centaurine remercia à la manière de ceux de son peuple : un genou à terre, les mains sur le cœur. Après quelques secondes passées dans cette position, Madaïa se releva et ajouta.

- J’ajouterai également que je vous dois une vie. Je ne l’oublierai pas et espère vous rendre la pareille un jour.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeLun 5 Avr - 21:06

Centaurine s'était débarrassé de l'esclavagiste. Delarion n'en revenais pas, elle avait fait s'écrouler un pan de bâtiment sur l'esclavagiste. Delarion appuya sa mains sur sa blessure. Il n'avait pas réagi assez vite, mais c'est pas grave, il ne mourrerait pas et sa magie, plus ses connaissances sur les plantes pourraient le rafistoler. Delarion vit la Centaurine émerger d'un nuage de poussière. La Centaurine détacha quelques feuilles qu'elle avait attachées dans ses cheveux blonds. Elle les appliqua sur la blessure sanguinolente de Delarion.

- Voici. Ça calmera la douleur et facilitera la cicatrisation. Ça ne risquera pas de s’infecter. D’ici quelques jours vous ne sentirez plus rien.

- Merci beaucoup.

- Ceux de mon peuple m’appellent Madaïa. Je ne crois pas vous avoir remercié. Je m’en excuse et le fait dès à présent.

Delarion s'inclina en réponse à la salutation de la jeune Centaurine.

- Enchanté de faire votre connaissance. Il est vrai que nous avons pas vraiment eut le temps de parler après votre petite course dans la ville.

- J’ajouterai également que je vous dois une vie. Je ne l’oublierai pas et espère vous rendre la pareille un jour.

- Cela n'est nullement contre vous, mais je préfère que vous n'ayez pas à me redevoir ce geste naturelle, du moins pour des gens de ma race ou de la votre. Les humains sont de plus en plus cupide, arrogant, idiot et égoïste. Puis je vous demander ce que vous comptez faire ? A mon avis rester sur le territoire des humains ne me parait une guère bonne idée. Si vous le souhaitez, je peut vous accompagnez jusqu'à la frontière, non pas que je vous croit incapable de vous défendre, mais c'est mon chemin et les temps sont durs, à deux nous éviterons bien des dangers. Ne vous inquiétez pas, Isis restera à distance, puisque vous craignez le feu, elle ma dit qu'elle vous saluait quand même et qu'elle comprenait votre phobie.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeMar 13 Avr - 13:00


Madaïa resta quelques secondes sans mots dire devant cette déclaration, à la suite de quoi elle s’exprima enfin.

- Ravie de constater que la bonté existe encore en ce bas monde. Laissez-moi au moins vous offrir trois ou quatre litrons de bière au cours de notre voyage vers la frontière, c’est le moins que je puisse faire.

Craintivement, elle regarda ensuite dans les cieux à la recherche de l’oiseau de feu. L’aperçevant à bonne distance, elle se rassura.

- Entendu pour Isis. J’essai de faire des efforts pour qu’il puisse s’approcher, mais c’est plus fort que moi… cela m’est impossible… Je suis désolée.

Observant de loin quelques badauds observant farouchement la scène de leur sombre ruelles ou derrière les rideaux crasseux des maisons, Madaïa enchaina.

- Oui, c’est probablement la meilleure des solutions, je vois que vous ne faites pas non plus confiance aux humains. D’ailleurs, mon intention n’a jamais été de venir dans cette ville… on m’y a amené de force. Je vous raconterai en chemin si cela vous intéresse…

A la suite de quoi, la centaurine entama un trot lent le long des quais… En suivant la mer, ils finiraient bien par trouver une sortie à cette ville.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeMar 13 Avr - 19:53

- Ravie de constater que la bonté existe encore en ce bas monde. Laissez-moi au moins vous offrir trois ou quatre litrons de bière au cours de notre voyage vers la frontière, c’est le moins que je puisse faire.

- Désolé de refuser votre proposition, mais nous autres les Elfes ne buvons pas d'alcool. Quand à Isis, tampis, elle m'a dit très bien comprendre votre peur du feux, mais je pourrais peut être arranger cela avec la magie, vous craignez l'odeur du feu et le feu, si Isis prend ses plumes or et rubis, et que je masque l'odeur du feu, en aurez vous moins peur ?

Mais pour l'instant, ils nous fallaient quitter cette endroit, et gagner n'importe quelle autre ville du moment que la population humains ni était pas majoritaire.

- Oui, c’est probablement la meilleure des solutions, je vois que vous ne faites pas non plus confiance aux humains. D’ailleurs, mon intention n’a jamais été de venir dans cette ville… on m’y a amené de force. Je vous raconterai en chemin si cela vous intéresse…


- Très bonne idée, mais avant sortons d'abord de cette ville.

Nous suivîmes le bord du port jusqu'à arriver à une grande porte garder par quelques soldats. Ceux ci vinrent à notre rencontre.


- Vous, ou allez vous comme ça ? Et que faite vous avec cette animal ?


Avait on courut pour venir jusqu'ici ? Quoiqu'il en soit, les gardes étaient perspicaces, nous fuyons belle et bien un peu. La deuxième partit de sa phrase révéla encore plus la stupidité humaine. Je me débrouillai pour parler mentalement à Madaïa.

<< Ne répond pas, et ne crois pas un mot de ce que je vais dire, ces humains sont idiots, je vais jouer leur jeu, si cela ne marche pas, ferme les yeux, je pense que prendre un peu la lumière du soleil leur remettra leur idées en place.>>

- Je retourne dans mon village, quand à cette Centaurine, je l'ai acheté ce matin au marchand d'esclave sur la place, elle me servira à porter les sacs de grains et de farines que je produirais dans ma ferme.

- Je ne pense pas que vous l'ayez acheté, il me semble que vous l'avez voler non ?

- Je ne l'ai pas volet, j'ai rendu la liberté à quelqu'un qui devait l'être c'est tout. Si vous avez des questions, allez au diable.


C'était de vulgaire soldats de la caserne du coin, et ils furent étourdis par le mini soleil que je venais d'invoquer. Nous partîmes en courant de la ville, pendant que les pauvres soldats voyaient toutes les étoiles tournés autour de leur tête.


- Ou voulez vous allez ?
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitimeJeu 15 Avr - 13:15


L'interruption causée par les soldats n'avait duré que quelques secondes... Le plan de Delarion semblait avoir parfaitement fonctionné. Comme prévu, l'elfe et la centaurine longèrent le quai jusqu'aux limites de la ville sans aucune difficultés. Les pistes avaient été brouillées, mais comme le disait Delarion, il ne valait mieux pas s'attarder dans les environs.

Nombre de témoins les avaient vu et ne manqueraient pas de raporter ces informations à la caserne. Madaïa se doutait que d'ici peu de temps, ils seraient activement recherché pour multiples chefs d'inculapation. Quelques affiches seraient probablement collées dans les rues pour faciliter leur arrestations. Un elfe pouvait encore se dissimuler, mais il en était autrement d'un centaure, nettement plus voyant...

- Je propose de prendre la direction des plaines de Kor. J'ai entendu les esclavagistes parler d'une relique de valeur cachée quelque part là bas. Peut être pourront nous mettre la main sur elle avant eux.
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MessageSujet: Re: Libération.   Libération. Icon_minitime

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