Nuage nocturne.

Enfin le soleil était couché. Enfin ses rayons inquisiteurs cessaient de mettre la lumière sur chaque chose. C'était l'heure des Fils de la Nuit. L'astre opalin baignait désormais Dionor de sa paisible lumière. Le silence se faisait, à peine troublé par le murmure du vent. Bientôt, les créatures des ténèbres sortiraient pour semer le temps d’une nuit la désolation. Un nuage jeta un voile pudique sur la Lune. L’appel de la nuit sonnait.

Du fond de l’infinie faille, une silhouette remontait en longeant les bords abrupts. Elle semblait flotter et s’élever lentement. Une ombre encapuchonnée qui tenait dans ses mains une faux arriva à la surface sans un bruit. Le spectre s’arrêta et balaya l’horizon du regard. Ici, il n’y avait pas âme qui vive. Cela était un problème, Indil avait faim. Une faim qui lui dévorait l’âme. Il partit sans plus attendre en chasse.
Il traversait les paysages désolés sans croiser quelque chose de plus vivant que des arbres desséchés par la chaleur du désert. Pour une créature de sa sorte, l’endroit était l’Enfer. Rien ne vivait si près de la Faille Dalfost, elle effrayait les animaux comme les plus évolués. Le faucheur avait une longue route avant de faire tomber son blé. Mais pour une raison dénuée de logique, il était attaché à cet endroit. Il aimait le silence qui y régnait et la solitude. Cela faisait des années qu’il n’avait parlé à quelqu’un. Ses contacts sociaux se résumaient au meurtre. Le plus souvent, des créatures perdues. Parfois des aventuriers trop téméraires, mais cela était rare. La pitance était donc souvent maigre et il y avait des jours où le Spectre manquait de rejoindre le Néant.
Mais pas ce soir. Déjà, il voyait un campement devant lui. Une fine colonne de fumée s’élevait vers le ciel d’un feu de camp autour duquel cinq carrioles formaient un cercle. C’était un festin qui se préparait pour Indil. En se rapprochant, il entendit des chants paillards et de gros rires. Les voix étaient enivrées et l’odeur de viande grillée se rependait loin aux alentours. Un instant, l’ombre eut peur qu’elle appâte d’autres créatures ; la Nuit, la chasse était ouverte pour tous. Mais l’endroit était trop isolé, trop loin de tout. Toutes ces âmes pour lui seul, il en avait le vertige.
Il se faufila entre deux carrioles pour voir ce qui l’attendait. Dix Nains dansaient autour du feu, ivres. Trois chantaient et quatre étaient allongés ivres-morts. Leurs armes étaient regroupées dans un coin. L’effet de surprise sera décisif.
Il se lança à l’attaque. Sa faux levée s’abattit alors qu’il lévitait à toute allure à travers le cercle de lumière. Une tête tomba et les cris de panique remplacèrent les chants de joie. La lame de l’arme brillait d’une faible lueur blanchâtre qui devint un peu plus vive quand un second nain fut décapité. Indil sentait la force de ces âmes nouvelles affluer en lui. Une troisième tête tombait quand il arriva de l’autre côté du cercle de charrettes et retourna dans l’ombre. Dans l’agitation, les nains les plus sobres avaient repris leurs armes. Quelques uns avaient fui en hurlant et les plus saouls ne s’étaient même pas réveillés. Quand Indil se relança à l’assaut, sept Nains tenaient mollement leurs haches. Les huit adversaires se faisaient face. Aucun n’osait se lancer à l’attaque. Sept c’était trop pour le Spectre. On entendait juste le craquement du feu quand soudain, un puissant cri retentit. Un second lui répondit. C’était un son terrifiant, des hurlements bestiaux qui semblaient bien trop proches. Deux grandes créatures apparurent alors. Démoniaques à souhait, leurs yeux brillaient d’excitation à la lueur du feu. Dans leurs quatre mains, ils tenaient des épées mal forgées mais imposantes. Des Creeks. Indil fut le premier à réagir ; il fuit. Il avait assez mangé pour la nuit de toutes les façons.
Mais que faisaient des Creeks ici ? Ils étaient des serviteurs de Dork-Malak, s’ils étaient ici, c’est qu’on le leur avait ordonné. Mais pourquoi ? Les Nains étaient-ils importants ? Avaient-ils trouvé quelque chose ? Etait-ce là la raison de leur joie, ou était-ce normal pour ce peuple ? Il cessa de spéculer, ce n’était pas ses affaires.
Et il se remit à errer dans le désert, s’éloignant petit à petit de la Faille Dalfost.

Le char d'Helios s'éloigna, laissant la place à sa soeur, la belle Sélène. Comme chaque soir, le soleil mourrait, tandis que la voute céleste se teintait ça et là de vermeil. Lentement, le Vampire s'avançait, dans l'ombre. Il avait rendez vous avec un Gobelin, il pouvait attendre. La douce fraicheur de la brise crépusculaire vint caresser son visage. Quoi qu'il en dise, son monde lui manquait. Mais il devait exterminer tous les humains, avant de prétendre pouvoir revenir. Ils paieraient. Tous, sans exception.

Ses pas finirent par le mener proche de la Faille Dalfost, là où il était supposé se rendre. Le Comte était ici en raison de l'éventuelle présence de Creek. Aussi décida-t-il d'utiliser l'un des nombreux sort de magie noire que lui avait appris les Sorcières, de la colline de Pendle. Murmurant des sombres formules, il disparaissait petit à petit, devenant l'obscurité elle même. Dans la pénombre, il s'avança en direction de la fumée. L'odeur de la bière emplit ses narines bien avant que ses pieds ne l'y ai porté. Être un Vampire apportait des sens nettement plus développes.

La lune éclaira la scène. Une hécatombe. Tous les nains étaient morts. Un Creek était d'ailleurs occupé à en dévorer un.
Von Carstein n'intima qu'un seul ordre à sa lame. Ne pas hurler comme à son habitude. Lentement, le Creek s'effondra, traversé de part en part par la lame Vampire, qui goulument se nourrissait. Puis, une fois le Creek mort silencieusement, sans qu'aucun de ses frères ne s'en soir apperçu, son épée regagna son fourreau. Toujours invisible, il s'approcha du Gobelin qu'il avait reconnu comme étant Dordrios. Ils avaient deja travailler ensemble.
Vlad posa sa main sur l'épaule du Peau-Verte, sortant de la pénombre.

"Il y avait longtemps, Gobelin."

Le Spectre n’était pas allé bien loin quand il vit un nouveau groupe. Cette nuit était décidemment propice à la chasse. Mais la mésaventure précédente le rendait prudent, d’autant plus que les nouveaux venus allaient dans la direction du carnage. Il se rapprocha donc aussi discrètement qu’une ombre le peut des voyageurs. Il fut vite rassuré sur un fait : ce n’était pas des Creeks. Trop petit. D’autres Nains peut-être ? Non, pas des Nains. Ces créatures étaient trop frêles. Des Gobelins ! D’ordinaire, Indil évitait de tuer ses frères enfantés de la nuit. Il attendait avec impatience le retour de Dork-Malak et ne voulait pas risquer sa colère. Il avait bien quelque fois dû tuer un Orc ou un Elfe Noir, mais il évitait. C’est bien pour cela qu’il ne commença pas tout de suite le festin.
La troupe fit route vers le campement nain. Là, le massacre avait été terminé par le couple de Creeks. Une abomination qui viendrait s’ajouter aux autres méfaits des créatures des Ténèbres. Indil était caché par une carriole, à l’abri des regards gobelins et creeks. Mais, il n’en restait qu’un ! Diable, où était donc parti le second ? L’errant regardait partout autour de lui dans l’espoir de découvrir le second monstre quand le premier s’effondra. Rien n’expliquait cette mort, si ce n’était la plaie béante qui était apparue dans le torse sombre du Creek. Quelle autre créature rodait en ces lieux ?
Soudain, une nouvelle voix retentit là où étaient les Gobelins. Calme et élégante, avec un accent d’ironie, elle n’appartenait en aucun cas aux créatures vertes de peau.
Il y avait longtemps que tant de monde n’avait été présent ici. La solitude et le calme qu’appréciait le Spectre disparaissait pour laisser place à une intrigue des plus angoissantes. Que se passait-il donc pour que des Creeks soient envoyés dévaster une expédition naine au milieu de nulle part, pourquoi des Gobelins et un être mystérieux semblant se connaître venaient ici eux aussi ?
Indil se précipita pour se rendre compte du dernier venu. Au moment où il reconnaissait un Vampire, un seau qu’il avait bousculé par mégarde du bout de sa faux tomba sur le sable avec fracas. Instinctivement, il se colla à la carriole dans l'espoir qu'il savait stupide de passer inaperçu. Pour cela, il était trop tard.

Dordrios observait le creek. Ses pieds griffus raclait le sol, il était prés à fondre sur l’ennemie avec sa légendaire vitesse quand la créature fut la proie d’un mal inconnu. Une plaie béante s’ouvrit faisant giclée un étrange sang noir de tout les cotés, comme si une lance ou une quelconque arme l’avait traversés de par en par. Le creek s’effondra. L’ouie sur développé de Dodrios capta un bruit de pas, quelque seconde avant qu’un poids supplémentaire ne s’ajoute à son épaule, comme si quelqu’un y avait poser une main. « Encore lui ? » fut la remarque mentale que se fit Dordrios quand une voix familière arriva jusqu’à ses oreille.

-Il y avait longtemps, Gobelin.

Dordrios n’arrivait à se rappeler du nom de cet individus que partiellement, Vlad. S’était donc lui qu’avait envoyer le patriarche des vampire pour lever le voile sur cette affaire. Il l’avait autrefois rencontré à plusieurs reprises, ils avaient également combattu cotte à cotte à plusieurs reprises. Le gobelin aimait se vampire autant que pouvait s’aimer deux créature malfaisante, avec un soupçon de haine, on pouvait dire qu’ils se supportaient sans vraiment se trouvait sympathique. Et puis par-dessus tout, le vampire venait d’abattre un cible destiner à Dodrios.

-Vlad…

Dordrios ne put pas finir sa phrase, il fut interrompu par un fracas. Ses yeux rouge se posèrent en premier temps sur un sceau renversés, puis ils se relevèrent pour fixait une silhouette qui semblait vouloir se blottir contre un chariot nain à moitié des détruit. Dordrios disparut en une fraction de seconde pour réapparaître presque instantanément derrière le nouvelle arrivant, en réalités il s’était déplacé si vite que l’on ne le voyait pas se déplaçait. Il s’était préparés à frapper mais lorsqu’il se retrouva derrière se qui sembla êtres une cape soutenus par la nuit elle même il fut stopper dans son geste.

-C’est quoi se truc ? Demanda-t-il de sa voix aiguë.

Son pale visage à nouveau visible, à la douce lueur nocturne, le Comte observa le Gobelin s'éloigner, pour se retrouver derrière une toge noire. Bien qu'observer ne soit pas le terme approprié. Il l'avait vaguement vu se déplacer, ne distinguant clairement que les points de départ, et d'arrivée.
Il détailla ensuite ce qui semblait vaguement être un revenant. L'être semblait insaisissable, et immatériel, en dehors de cet étrange accoutrement, et de sa longue faux, qui sans aucun doute avait été l'outil même de ce carnage, avant l'arrivée des Creeks. Sans réel corps, il ne semblait qu'être un drap. Mais le Comte de Sylvanie avait appris il y a bien longtemps de cela qu'il ne fallait pas se fier au apparences. C'était sans aucun-doute, quelque puissant serviteur de ce maitre de la nuit que Vlad von Carstein ne reconnaitrait jamais. Dork-Malak. Il ne se connaissait d'autre maitre que lui même, d'autres lois que les siennes.

Le Creek encore vivant semblait chercher d'où venait la cause de tout ce raffut, et Vlad savait qu'un combat loyal ne se solderait pas comme celui qu'il venait de terminer. Tuer un Creek de dos était bien plus aisé que de se battre en face à face. Bien moins intéressant aussi. Le Démon finit par trouver le Gobelin, et l'être que le Vampire désignerait désormais par "Esprit". Il n'avait rien de réel, et si Von Carstein n'était pas effrayé, il en avait vu d'autre, il était étonné. Ce genre de créature était peu courante, et souvent incroyablement vieille. Du haut de ses treize millénaires, il n'en avait croisé que sept, en comptant celui ci. L'un même avait rejoint son armée, et avait disparu, après sa défaite devant l'Empire.

Calmement, il s'avança en direction des trois créatures de la nuit, désormais réunies. Si le Creek avait repéré Dordrios, et l'Esprit, il n'avait pas vu le Vampire.
Vlad von Carstein n'éprouvait que mépris pour ces serviteurs idiots, et pourtant incroyablement puissants de Dork-Malak. Il avait eu l'occasion d'en descendre un ce soir, et voila qu'un deuxième se présentait. Néanmoins, ce combat se déroulerait dans les règles de l'art.
Il tonna alors.

"Que cherches-tu, être abject ? Tu t'en prends au fils de ton seigneur, tes frères ? Allons, bon, ressaisis toi, cela ne sert à rien."

Tenter de raisonner un Creek était peut être la dernière chose à faire. Mais Vlad voulait juste détourner son attention. Ce qu'il réussit à merveille. A nouveau il deffera, tandis que cette fois ci, sa lame poussait un cri horrible, de douleur et de frustration déchirant les tympans de quiconque n'y était pas accoutumé.
Le Creek recula de deux pas, avant de retourner à la charge.

Alors qu’il angoissait quand aux activités mystérieuses du second Creek, celles-ci firent diversion à merveille pour le Spectre. Il envisagea un instant de fuir à nouveau, mais il ne pouvait se résigner à laisser seuls ceux qui restaient ces frères. Un cri affreux retentit, semblant provenir de l’arme du Vampire attira le monstre vers lui. Le Gobelin se trouvait tout proche du Spectre, mais il ne pensait pas avoir quelque chose à en craindre pour le moment.
De son vivant, Indil n’avait pas été un adepte des arcanes. Mais aujourd’hui, ce n’était plus le cas. Même s’il ne valait pas un mage accompli, l’énergie des âmes qu’il avait dévorées ce soir lui permettait d’utiliser la Magie Noire. Il ne lui fallait guère plus de quelques secondes pour ce qu’il prévoyait, mais peut-être le Creek aurait d’ici-là rejoint le Vampire. Si tel était le cas, cela pouvait devenir gênant. Mais il était trop tard pour ces considérations sans intérêt. Puisant en lui-même, il regroupa son mana. Sa manche vide traça une rune invisible dans les airs. La distance entre la créature et le Vampire était encore suffisante, il ne serait pas affecté par le maléfice… normalement. Il allait être fixé. Déjà, des ombres prenaient consistance sous le Creek. Elles prirent rapidement la forme de mains noires. Plus sombres encore que la nuit. Les appendices maléfiques saisirent le monstre aux chevilles et le maintinrent fermement. Il manqua de tomber, mais parvint par malheur à se maintenir debout. Il baissa les yeux où se mêlaient un air de surprise abruti et une fureur bestiale. Il donna un grand coup d’une de ses épées, frôlant son mollet et tranchant la main noire. Il n’eut pas le temps de bouger que l’ombre s’était reformée autour de sa jambe. Le monstre poussa un hurlement de rage et donna un nouveau coup sans plus d’effet.
Pendant ce temps, Indil s’était avancé de l’être de la Nuit. Sa faux levée s’abattit encore une fois. Mais le Creek eut le réflexe de parer. Ce qui n’empêcha pas la lame d’entailler la chair du bras droit supérieur du monstre jusqu’à l’os. Dans un hurlement, la créature contrattaqua et c’est in extrémiste qu’Indil put se protéger avec le manche de son arme donc la lame était restée fichée dans le bras frappé.

Vlad von Carstein se contenta d'observer le Spectre et le Gobelin s'occuper de cet être immonde. Il haissait les Creeks pour leurs servitude volontaire et idiote.
Le Vampire rangea sa lame, l'air content. Il appréciait "travailler" avec le Gobelin, car celui-ci travaillait vite, et efficacement. En quelques secondes la colonne vertébrale du monstre fut mise à nue, et le peau-verte brisa la moelle.
Le Démon agonisait, et le Comte ne trouva rien de mieux à faire que de remuer le couteau dans la plaie. Il arracha la faux de l'épaule où elle était resté, et la restitua à son posséseur, un sourire pour le moins inquietant sur les lèvres.

"Joli travail, Dordrios."

Trouvant que le Démon mourrait trop buyament, il l'élimina, un trait noir partant de ses doigts, laissant une trace fumante dans son crane.

"Et toi ? Qui es-tu, et que fais tu ici ?"

Ton dédaigneux, comme à son habitude. Le Vampire n'avait rien contre l'Esprit, mais avait tendance à prendre tout le monde de haut...

C’en était fini. Ils étaient deux, ils n’étaient plus. Dans un sombre craquement, le chaos se termina. Les ombres disparurent sans se faire remarquer, à leur manière donc. La lame de la faux s’illumina alors d’un halo pâle. L’afflux d’énergie était le dernier plaisir physique du Spectre.
Son arme libérée du membre du défunt par le Vampire, ce qu’Indil redoutait arriva. Il devait maintenant parler pour répondre à l’interrogation de ce frère inconnu. Peu importait le ton qu’il employait, le Spectre ne s’en apercevait pas. Si longtemps qu’on ne lui avait parler…
Indil voulait répondre mais n’y arrivait pas. Non pas qu’il fut muet, mais il avait perdu cette habitude de produire des sons. A prix d’un grand effort, il parvint à prononcer son nom dans un souffle haletant. Il le répéta une nouvelle fois, de manière plus audible. Il reprenant enfin ses marques dans le langage.
De la voix d’outre tombe qui était la sienne, il parvint finalement à se présenter convenablement.

« Indil fils de Taäl, roi défunt de Nihilia, mort parmi les vivants, vivant parmi les morts. Cela vous convient-il, Vampire ? Je suis ici depuis tant plus d’années que l’on ne peut en compter sans perdre la raison, aussi, c’est à moi de vous demander ce que vous faites ici, ainsi que vous, Gobelin. »

Au moins, le Spectre était sûr d’un chose ; ils n’avaient pas été envoyés ici dans le même but que les Creeks. Cela n’était pas forcément plus rassurant à long terme, mais pour l’instant, c’était une très bonne chose.

L’affrontement avait prit fin lorsque le vampire, Vlad de son prénom, avait achevé le Creek. Dordrios adorés voir le sang rouge giclé, celui des Creek était noir, assez déroutant mais pas dénués d’intérêt. Le gobelin nettoya le sombre sang qui tachés son épée de sa langue qu’il fit glisser, avec un son écoeurent, le long de sa lame. Voici le seul moyen qu’il connaissait pour nettoyé sa fidèle lame, mais même si il en connaissait d’autres il continuerait comme sa, le sang de ses victime étant la seul chose pouvant faire, au moins pour un temps, son éternel soif de mort. A son grand étonnement, après que le vampire lui est rendu son âme, la cape volante parla. En effet, une voix fatiguer par le temps sortit tout droit d’outre tombe s’échappa de l’étrange forme fantomatique.

-Indil fils de Taäl, roi défunt de Nihilia, mort parmi les vivants, vivant parmi les morts. Cela vous convient-il, Vampire ? Je suis ici depuis tant plus d’années que l’on ne peut en compter sans perdre la raison, aussi, c’est à moi de vous demander ce que vous faites ici, ainsi que vous, Gobelin.

S’était donc sa, un mort. Un esprit errant condamné à boire les âmes de ses victime pour perdurer dans se monde, cela n’était pas très fréquent, mais pas très rare non plus. Dans sa vie Dordrios avait croisés de quatre entités similaire sans compter se « Indil », dont deux qu’il avait renvoyer dans le néant. Mais ses esprit errant dépourvus de sang et de chair son devenu inintéressante aux yeux du gobelin, en tout cas dans le domaine de la tuerie.

-On n’est ici pour eux, dit Dordrios montrant le cadavre du Creek avec la pointe de sa lame.

Dordrios estima alors qu’il en avait assez dit, s’était un gobelin, il ne préférait pas parler, tuer était beaucoup plus intéressant. Il laissa alors le vampire et le spectre discutés pendant que lui retourner vers le cadavre du démon. Se fut très rapide, en une fraction de seconde il se retrouva cinq mètres plus loin à cotés du mort dont il prit le bras pour commencer à lui grignoter la chair. Un régal pour les papille.

Il observa le Gobelin se repaitre du sang de son adversaire, sans rien ressentir. Pour lui, c'était tout à fait normal. Après tout, n'était-il pas contraint de boire le sang de ses victimes ? Oui, et non. Il avait réussi à s'affranchir de sa soif de sang, et n'en n'avait plus besoin pour subsister. Mais besoin et désir son deux notions à part entière, et le Vampire appréciait le sang.

Nul doute que l'Esprit n'avait parlé depuis des lunes. Celui ci avait clairement des difficultés à s'exprimer, mais le Vampire retint le fait qu'il ai été un roi mortel. Un roi humain, donc. Enfin, il ne l'était plus. Il était désormais un spectre, et pas un des plus faibles. Pas un simple fantôme, incapable de quoi que ce soit d'autres que terroriser un village d'ignorant. S'en faire si ce n'est un ami, mais un allié pourrait être intéressant. Car Von Carstein n'était pas en mesure de posséder des larbins de ce niveau pour l'instant.

"Vlad von Carstein, premier Comte-Vampire de Sylvanie. Nous sommes ici, ce peau-verte et moi même,pour ces Démons."

Il se tut, tandis que Dordrios s'attaquait au bras du Creek. Le vent avait forci, et ses cheveux venaient fouetter son visage. Sa cape claquait. Il ne manquait plus que son ombre se détachant à la lumière de la lune, et pour parfaire le tout, un éclair zébrant le ciel.

"Je ne vois aucune raison de rester ici. Que pensez vous de quitter ce lieu ? "

A vrai dire, il ne voyait rien le poussant à partir non plus. Actuellement, il souhaitait renverser le chef Vampire, auquel il n'avait jamais rien promis. Jamais il n'avait juré allégeance. Mais pour parvenir à ses fins, il devait déjà réunir une armée...

Si le Gobelin restait anonyme et était distant, le Vampire en disait plus long sur lui. Il se disait premier Compte de Sylvanie. Jamais Indil n’avait entendu parler de ces terres, mais soit ce Vlad von Carstein était infiniment âgé, soit sa nation terriblement jeune. Le Spectre optait d’avantage pour la première solution à en juger par le caractère du Vampire.
Ce dernier voulait maintenant partir alors que le Gobelin se repaissait du cadavre du Creek. Indil n’en avait que faire, les deux seuls Creeks qu’il n’ait jamais vu ici venaient de mourir. Mais n’était-il pas étrange que cette petite expédition soit venue juste pour se débarrasser de ce qui restait malgré tout des alliés ?

« Compte von Carstein, savez-vous ce qui a envoyé ces créatures ici ? Depuis tout le temps que je suis ici, je n’en ai jamais vue aucune, et voilà que soudain, deux viennent attaquer un convoi nain. Ce n’est pas que cela me gêne, mais ne trouvez vous pas cela étrange ? »

Et s’il ne savait pas pourquoi, qu’est-ce qui garantissait qu’ils ne reviendraient pas ? Indil n’avait jamais eu de prédateur dans ces terres. Au contraire, il était en haut de la chaîne alimentaire. Mais si des Creeks venaient régulièrement, les risques deviendraient plus importants. Que faire dans le cas échéant ? Se décider enfin à abandonner cette faille désertique ? Pour aller où ? Suivre l’équipée ? Ou en solitaire, comme toujours ? Sur Dionor, il y avait peu d’endroit où la compagnie des Spectres était appréciée, même parmi les Fils de la Nuit. Une question d’aura, sans doute…

"Je dois ma foi reconnaitre que je n'en sais pas plus que toi, Indil."

Habitué a être vouvoyé depuis un peu plus de treize milles années, von Carstein n'avait pas pris la peine de renvoyer l'honneur à l'Esprit. Il n'y avait que trois personnes qu'il ai jamais vouvoyé, et ces dernières étaient toutes disparues, désormais. Mais le détail que l'ex roi mortel avait soulevé l'intriguait. Il avait raison, ces Creek étaient là dans un but précis. Sans aucun doute avaient-ils-été envoyés par quelques supérieurs de l'armée de Dork-Malak, et ces Nains avaient eu la malchance de tomber sur eux. Mais le Compte en doutait. Fortement.

N'entendant plus les bruits de mastication du Gobelin, il en déduit que celui ci avait arrêté de manger. Se retournant, il constata que le peau-verte tendait l'oreille. Il ne lui fallut pas longtemps pour repérer le survivant de la caravane. Ses dents claquaient si fort, qu'il risquait de se déboiter la mâchoire. Il fallut quelques secondes à Dordrios pour lever sa lame, et s'apprêtait à frapper irrémédiablement. Le Vampire se demanda comment pouvait il agir aussi stupidement. Ce Nain le servirait plus vivant que mort.

Le peau verte frappa, mais le Vampire arrêta son bras, le saisisant au poignet, avant d'attraper le Nain par le col, et de le lever à sa hauteur.

"Allons, Dordrios, mon ami. Ne nous devons pas de paraître aimable et courtois au yeux de notre hôte ici présent ? "

Non pas dédaigneux, le ton était faux. Et c'était voulu.

"Eh bien, Nain. Parles. Qui es-tu, que faisais tu ici, avant d'être attaqué ? Sais tu pourquoi vous avez été attaqués ? "

Avant toute chose, le Compte lâcha le bras du Gobelin, et posa le Nain. Il serait sans aucun doute plus à l'aise pour les aiguiller, si il ne se sentait pas en danger. Bien qu'irréalisable, ils devaient néanmoins lui faire croire qu'il survivrait, quelques soit le résultat...

Ils n’en savaient rien ! Donc il était probable qu’ils reviennent pour faire ce que les deux précédents n’avaient pu terminer ; il était impensable que deux Creeks aient été envoyés juste pour attaquer un groupe de Nains ivres. Un seul aurait été largement suffisant… Alors que cherchaient-ils donc ? Ce devait pourtant avoir un rapport avec la caravane. Le Désert Ensablé était grand, les envoyés du Sombre Seigneur n’avaient pu se trouver par pur hasard à cet endroit précis. Un instant, Indil entrevit la pensée que ce fut pour lui. Impensable, bien sûr. Il chassa vite cette stupide et effrayante hypothèse.
C’est alors que le Gobelin trouva un des Nains. Celui-ci s’apprêtait à le tuer quand, par chance, le Compte von Carstein l’en reteint. Posément le Vampire interrogea le Nain. Il tremblait et claquait des dents tant qu’il ne parvenait pas à répondre. Mais le ton prit par le Compte de Sylvanie sembla calmer le survivant qui réussit à bafouiller ces mots :

« G-Galbïn, sombre éminence… Je me nome Galbïn. »

N’est-il pas étrange comme le carnage avait pu avoir raison de la proverbiale fierté naine ? Ce Galbïn était à peine plus qu’un nanillon, ce devait être sa première expédition.

« N-nous avons été envoyés pour étudier une stèle au milieu du désert. » Il hésita un instant, trahir son peuple n’est jamais chose aisée pour un Nain… « On y a découvert des inscriptions étranges. Du langage démoniaque. Nous avons pu les traduire. C’était la tombe d’un ancien roi Démon. Ca parlait d’un périple qu’il avait fait, je ne me souviens plus très bien… Quoi qu’il en soit, nous avons fait sauter la pierre. Un tunnel menait alors vers les profondeurs. Nous y entrâmes et au fond, une grande salle pleine de richesse. Des bijoux en or, des meubles en argent, il y avait même une armoire taillée dans un seul rubis ! Je n’avais jamais vu de telles choses. Il y avait aussi des livres, des parchemins,… Et un sarcophage. Nous avons tout prit. » Il tendit le bras vers les carrioles. « Tout est là. Vous pouvez tout prendre, mais par pitié, laissez-moi en vie ! »

Indil alla jeter un rapide coup d’œil et il fut saisi par la splendeur des objets qui se trouvaient dans les charrettes. D’ailleurs, où étaient les chevaux ? Ils avaient dû fuir maintenant…
L’ancien roi prit un parchemin et le déroula. Il ne connaissait pas bien le langage démoniaque mais reconnu une ode funèbre en l’honneur d’un dénommé Gzorlim. Sans doute le roi Démon. Le Spectre prit à nouveau la parole.

« Il dit vrai. Je n’ai jamais rien vu de tel. Et il semble bien que cela provienne d’une tombe de Démon. Cela peut expliquer la venue des Creeks… »

Dordrios jetas un regard remplit de haine au vampire lorsqu’il bloqua son bras, qu’il recommence une fois de plus et sa mort serait prématurés. Enfin, si une mort prématuré était possible pour un vampire. Vlad avait besoin de se nain, certes, mais le gobelin se jura qu’il tuerait lui même se dénommer Galbin, si se n’était pas le cas il abattrait sa lame sur celui qui le ferait à sa place. Si peu de personne à abattre dans se lieux restreint, et le seul porc sur qui il voulait se défouler on l’en n’empêché.

Le nain bégayait mais il réussi tout de même à expliquer que lui et ses congénère avait fait une découverte dans le désert, des richesse, une montagne de richesse. Cela intéressé le gobelin, mais pas autant que la perspective d’éventrait se nain. La cape volante, heu… Indil se dirigea vers l’une des charrettes déchiquetées, il en extirpa un parchemin. Il sembla intéressé par le bout de papier don se foutés totalement le gobelin, quand est-ce qu’il pourrait égorger se nain !? Il perdait patience, son arme qui tournoyait entres ses doigt en témoignait, un tic qu’il avait depuis toujours.

-Il dit vrai. Je n’ai jamais rien vu de tel. Et il semble bien que cela provienne d’une tombe de Démon. Cela peut expliquer la venue des Creeks…

Dordrios avait beau êtres un gobelin il savait que n’importe qu’elle fils de la nuit aurait prêtés attention à la mention d’un roi démon. Leurs puissances employées lors de la grande guerre étaient devenues légendaires. Mais il ne prêta qu’une moitié d’attention, le reste resta sur le nain sur lesquels il garda ses yeux fixés. Il fallait le tué ! Le tué ! Sa conscience insisté ! Il disparut à nouveau, une grimace de surprise se forma sur le visage du petit bonhomme, sa peut s’accrut d’avantage quand il s’aperçus que le gobelin était apparut derrière lui et que sa lame taquinés sa gorge. Il suffirait d’un simple geste souple pour tranchés la carotide du petit bonhomme.

-On n’en sait assez ! Je le tue ?

Et le Nain parla. Le compte se contenta d'ignorer l'expression haineuse et frustrée qui se peignait sur le visage du Gobelin, écoutant celui qui s'était présenté comme étant Gablïn. Dès lors que celui ci eu finit de parler, l'Esprit confirma ses dires, fouillant dans les trésors retrouvés par l'expédition.
La lumière et la nuit l'intéressaient peu. Que Lum'Dix prenne le pas sur Dork-Malak ne le concernait pas. Après tout, ce n'était pas son monde. Et puis, il n'avait pas une conception aussi manichéenne des choses. Chacun est bon comme chacun est mauvais. Il n'est pas, de toute façon, de lumière sans ombre.

Dordrios demanda la permission de le tuer, et le compte le regarda, arquant les sourcils. Depuis quand demandait il permission ? Et si Indil voulait peut être savoir qui précisément avait commandé cette expédition, cela ne l'intéressait pas. C'était la "Sainte Lumière", comme les peuples du Jour la désignait eux mêmes.

"Effectivement, il n'est plus bon qu'a te servir de repas, Peau-Verte."

Gablïn se mit dès lors à gémir. Depuis que le Gobelin faisait pression de sa lame sur sa carotide, il suait à grosses goutes. Et son sang n'était plus bon qu'à écrire. Soit, au gout amer.
Vlad von Carstein s'avança alors en direction de la carriole aux roues défoncées. Désireux de voir de lui même ces quelques trésors qu'ils avaient ramenés. Non pas qu'il soit spécialement intéressé par l'argent, mais une guerre ne se fait pas sans or. Néanmoins, il y avait là grand nombre d'objets qu'il ne pourrait transporter seul. Et puis, si les Creeks étaient venus pour récupérer les objets d'un de leurs défunt roi, le voler n'apparaissait pas comme une bonne idée au Vampire. Il trouverait cet argent ailleurs.

"Je pense qu'il ne serait pas idiot de visiter cette stèle. Dévores ton Nain, et allons-y."

Un rayon de Lune perça les nuages. A sa lumière, Indil cru reconnaître un objet. Une petite boîte de bois sombre décorée à l’or fin. Elle n’avait rien de particulier, mais le Spectre se dit instantanément qu’il la connaissait. Mais d’où venait-elle ? Posant le parchemin, il prit la boîte. Elle était très lourde malgré sa taille. Il l’ouvrit et vit qu’elle était vide. Etrange. Elle était bien trop lourde pour qu’il n’y ait que du bois dedans. C’est alors qu’il se souvint. Il se sentit sourire, bien que cela fût invisible pour l’œil mortel. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas fait ça… L’objet avait été offert par son père à un Démon dont il avait jusque lors oublié le nom, ce devait être ce Gzorlim. Un simple cadeau à un allié. Du moins en apparence. La boîte été ensorcelée ; tout ce que l’on mettait dedans se téléportait instantanément dans une autre boîte, identique, qui était en possession de Taäl. Ainsi, le service d’espionnage s’en portait beaucoup mieux. Le roi de Nihilia souhaitait prendre les terres du Démon et ses terres fertiles si rares dans les domaines de la Nuit. L’espion qui était chargé de faire tomber Gzorlim n’était nul autre qu’Indil. Pendant des semaines, il fit le service dans le palais démoniaque, collectant toutes les informations possibles qu’il transmettait par la boîte de bois sombre. Il avait fini par trouver des parchemins sur des transactions plus que douteuses. Gzorlim avait accepté de ne pas attaquer une peuplade humaine en échange d’un tribut colossale. Dès que la nouvelle fut dévoilée, le roi Démon perdit toute crédibilité. Il fut capturer par un serviteur de Dork-Malak, nul ne sait ce qu’on lui fit. Taäl en profita pour arriver en sauveur sur le trône libéré et rasa le bourg humain.
C’était lors de ces semaines d’infiltration qu’il fit la connaissance de celle qui deviendrait sa femme. Pour la première fois depuis qu’il était un Spectre, Indil repensa à son épouse. Ils n’avaient été mariés qu’une journée, certes, mais elle devait lui donner un enfant. Cet enfant, il l’avait sacrifié pour cette condition pitoyable. A cet instant, Indil eut des regrets.

« Inutile de chercher le tombe. Et de toutes les façons, nous ne saurions où la trouver ; ces pilleurs ont pu faire un long chemin avant d’arriver ici. Le Désert est trop vaste pour nous. » Sa voix encore enrouée par les siècles sans parler masquait tout à fait le fait qu’elle était étranglée par une émotion toute nouvelle. « D’autres Creeks viendront sans doute rechercher ces trésors, ce n’est pas notre affaire. Au moins, cela aura coûté la vie à quelques Nains et aura rempli l’estomac de certains. Je pense que je vais il y aller maintenant. »

Maintenant, il savait pourquoi il avait toujours été si attaché à cet endroit. On avait voulut qu’il se trouve dans cette situation. On avait voulu qu’il soit tourmenté par le remord. On l’avait manipulé. Qui ? Dork-Malak ou Satan n’auraient eu aucun intérêt dans ce plan. Lum’Dix, ce ne pouvait être que lui.

« J’ai une lumière à éteindre… Au revoir, compte von Carstein. » Il se tourna vers le dévoreur de nain. « Adieu, Gobelin. »

Il lança la boîte dans le tas de richesses, reprit sa faux et partit loin de la Faille Dalfost, loin du Désert Ensablé, vers des terres où sa haine ravivée pourrait s’exprimer.




[Je suis désolé de vous avoir laissé comme ça, mais je n'ai pas eu le temps décrire ces derniers temps. Je m'excuse aussi de couper court ainsi au RP. Vous avoir fait attendre pour si peu me gêne.]

La lame de Dordrios se tenait tout prés de la gorge du nain tremblant et bégayant, son éternelle sourire occuper son visage. Le vampire semblait avoir obtenue tout se qu'il voulait du nain, le dénommer Galbin. Les créature de la lumière avait toujours de ses noms bizarres. Le gobelin sentait l'odeur de la peur, une odeur don il se délectés presque autant que le gout du sang, le moment qu'il préfèrerait été quand la proie croyait encore qu'il lui rester une échappatoire et que son espoir s'effaçait à grand coup de lame. Dordrios se léchait les babine, il semblait avoir deviner les futur parole de vlad.

-Je pense qu'il ne serait pas idiot de visiter cette stèle. Dévores ton Nain, et allons-y.

L'odeur de la peur se fit plus présente, Galbin tremblait d'avantage. Le nain suait à grande goute, la lame du gobelin se cola à sa gorge, une dernière prière silencieuse de la par du nain put gagner les étoile. Le travail fut rapide, le bras de Dordrios d'un geste vif amena sa lame creusé la gorge du nain, un gargouillis étouffés tenta désespérément de se changé en parole alors qu'il crachait du sang. Galbin s'écroula dans une marre de son propre sang, celui qui avait recouvert l'épée du gobelin fut bientôt nettoyer par la langue du gobelin.
Pendant se temps l'étrange spectre s'était approcher des richesse et en n'avait prit une boite qu'il reposa bien assez tôt à sa place. La cape flottante se tourna d'abord vers le vampire, puis vers le gobelin.

-Inutile de chercher le tombe. Et de toutes les façons, nous ne saurions où la trouver ; ces pilleurs ont pu faire un long chemin avant d’arriver ici. Le Désert est trop vaste pour nous. D’autres Creeks viendront sans doute rechercher ces trésors, ce n’est pas notre affaire. Au moins, cela aura coûté la vie à quelques Nains et aura rempli l’estomac de certains. Je pense que je vais il y aller maintenant. J’ai une lumière à éteindre… Au revoir, compte von Carstein. Adieu, Gobelin.

Dordrios regarda la cape flottante s'éloigner, il n'était pas de son avis, l'odorat du gobelin pouvait suivre celle des creek à la trace mais bon, qu'il parte personne n'avait vraiment besoin de lui. Dordrios se tourna vers vlad lui adressant rien d'autres qu'un hochement d'épaule.